vendredi 27 novembre 2009

L'avortement en Côte d'ivoire

L'AVORTEMENT EN CÔTE D'IVOIRE

En Côte d'Ivoire, la fécondité a baissé rapidement au cours des quinze dernières années : le nombre moyen d'enfants par femme est passé de 7,2 en 1980 à 5,7 en 1994, et ceci malgré une prévalence contraceptive encore très faible.

Le recours à l'avortement se fait de manière clandestin car interdit par la loi en vigueur (Le législateur Ivoirien n'est pas allé loin dans la pénalisation de l'avortement car la nature humaine de l'embryon n'est pas reconnue).

Il semble qu'il y ait actuellement en Côte d'Ivoire un recours à l'avortement provoqué fréquent (un tiers des femmes ont avorté au moins une fois), et que ce phénomène se soit récemment amplifié.

La généralisation du recours à l'avortement se serait faite au cours des dix dernières années ; elle a touché toutes les classes d'âge, mais plus particulièrement les plus jeunes qui commencent à utiliser l'avortement dès le début de leur vie féconde (parfois sous la menace d'un parent ou de son copain, ou en suivant les conseils de leurs amies) au contraire de leurs aînées qui l'utilisaient plutôt comme un moyen d'espacement et de limitation des naissances après les premières grossesses car les méthodes naturelles d'espacement de naissance sont méconnues en Côte d'ivoire. Cette augmentation rapide du recours à l'avortement explique en partie la baisse de fécondité de la Côte d'Ivoire.

LES METHODES D'AVORTEMENT EN CÔTE D'IVOIRE
Les méthodes les plus connues et utilisés sont les méthodes traditionnelles (car par manque de moyens, elles ne peuvent pas avoir recours aux cliniques clandestines qui pratiquent l'avortement.
Ses personnes utilisent donc parfois des bouteilles qu'elles écrassent suivi d'un mélange avec certaines plantent et se purgent avec.
Je prepare un document pour vous en dire plus.

LES ASSOCIATIONS DE LUTTE CONTRE L'AVORTEMENT EN CÔTE D'IVOIRE

Notre organisme est la seule association qui exerce dans le domaine pro vie en Côte d'ivoire.
Nous essayons, avec nos maigres moyens, de montrer le vrai visage de l'avortement et de venir en aide aux femmes enceintes en detresse et/ou demunies. (Le premier bébé que, nous avons sauvé se prenomme Ryan Josselin Junior).

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